Tu sais, on a parfois l’impression d’avoir tout bien fait.
On a suivi nos élans, coché quelques cases, peut-être même réalisé certains rêves.
Et puis un matin, sans raison apparente, on sent un creux. Une sorte de flottement.
Un “Et maintenant, je fais quoi ?”
Je l’ai vécu aussi.
Et je ne crois pas être la seule.
Ce n’est pas toujours douloureux.
C’est plutôt subtil.
Comme un manque de pétillance.
Un goût de sérieux un peu trop présent dans le quotidien.
Alors aujourd’hui, j’ai envie de te proposer une piste un peu étrange, un peu légère en apparence :
Et si tu réintroduisais le jeu dans ta vie ?
Pas en fuyant ta réalité.
Pas en t’échappant de ce que tu construis.
Juste… en y mettant une autre énergie.
Un autre regard.
Tu veux que je te dise ?
Moi qui parle souvent de rêve d’âme, de créativité, de joie… il m’arrive encore de tomber dans le piège du “trop sérieux”.
Quand j’ai voulu structurer le test que je crée en ce moment, j’ai commencé à réfléchir comme une stratège.
Et d’un coup, j’ai oublié le plaisir.
Je ne jouais plus. Je performais.
Tout était cohérent, aligné, bien pensé.
Sauf que… j’avais perdu l’élan du départ.
Alors j’ai arrêté de tout optimiser.
Et je me suis posée cette question toute simple :
Comment je pourrais faire cela en jouant ?
Rien que la question a fait bouger quelque chose.
C’est comme si mon corps respirait à nouveau.
J’ai repensé à mes rêves de plus jeune, ceux que je portais avant d’avoir à “être crédible”.
Changer le monde, écrire un livre, créer des espaces de transformation.
À l’époque, je n’appelais pas ça “ma zone de génie”. Je faisais juste ce qui me faisait vibrer.
Et peut-être que c’est ça, au fond, jouer avec la vie :
Revenir à cet endroit où tu fais les choses par élan, pas seulement par devoir.
Où tu avances avec présence.
Comme un enfant qui joue sans se demander s’il est en train d’apprendre.
Tu sais, il y a dans le jeu une forme d’intelligence du vivant.
Une capacité à être dans le présent, à créer, à explorer, sans pression de résultat immédiat.
Et parfois, c’est exactement là que ton rêve d’âme te chuchote des indices.
Pas besoin de tout bouleverser pour le sentir.
Tu peux juste te demander :
Qu’est-ce que je pourrais faire différemment aujourd’hui, rien qu’un peu, pour y remettre du jeu ?
Et si tu as envie d’explorer tout ça dans un espace vivant, j’ai imaginé L’Élan-Vie pour ça.
Ce n’est pas un programme.
Ce n’est pas une méthode.
C’est un temps.
Un moment pour respirer, rêver, sentir ce qui t’appelle — sans forcer, sans t’imposer.
Parce que ton rêve d’âme n’est peut-être pas si loin.
Il attend peut-être juste que tu acceptes de rejouer un peu avec la vie.
Et si c’était le début d’autre chose ?
Pas en rupture, pas en opposition, juste… en douceur, à ta manière.
Avec un soupçon de joie en plus.
Tu sens que quelque chose bouge en toi ?
Tu peux continuer l’exploration à ton rythme :
👉 Comment retrouver son rêve quand on pense ne plus en avoir
Un autre regard sur ce fameux moment de flottement… et des pistes pour faire émerger ce qui cherche à renaître.
👉 Où en es-tu de ton élan intérieur ?
Un test introspectif pour faire le point sur ta relation au rêve, à la joie, à l’expression de toi. Une boussole douce, rien à prouver.
👉 Participer à L’Élan-Vie
Un moment partagé pour respirer, rêver, explorer ce qui t’appelle — sans pression, sans engagement, juste pour sentir.
Reçois des échos pour nourrir ton élan dans ta boîte aux lettres.
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