« Créativité existentielle ». Un mot un peu étrange…
Et pourtant, en 2008 déjà, cette idée me traversait comme une évidence : nous avons le pouvoir de façonner notre vie, de l’habiter pleinement, plutôt que de la subir.
Depuis, cette question ne m’a jamais vraiment quittée :
👉 Est-ce que je choisis ma vie ? Ou bien suis-je en train de la laisser filer, occupée à répondre à ce que le monde attend de moi ?
Il y a des moments de vie où tout semble se décaler :
Un travail qui ne fait plus sens.
Une séparation.
Des enfants qui quittent le nid.
Un quotidien trop étroit.
Un corps qui dit stop.
Ou simplement une lassitude qui s’installe…
Des moments où quelque chose murmure à l’intérieur :
« Et si je reprenais la main ? »
C’est souvent là que la créativité existentielle émerge —
pas comme une méthode,
plutôt comme une réponse sensible à un besoin de réajustement profond.
Il ne s’agit pas forcément de tout transformer.
Il s’agit d’oser remettre du choix là où l’on a laissé la routine s’installer.
De se demander :
Est-ce que ma vie actuelle me ressemble encore ?
Qu’est-ce qui m’appelle en silence ?
Quelle forme aurait ma vie si je la tissais à partir de ce qui me met en mouvement ?
Impossible de s’écouter au milieu du bruit.
Parfois, ça commence par un pas de côté.
Un espace de respiration.
Un moment pour te retrouver avec toi-même.
Qu’est-ce qui me fait me sentir vivante ?
Même de façon discrète ?
Il y a des signes, des élans, des envies…
Encore faut-il leur laisser une place.
Tu n’as pas besoin de tout réinventer.
Tu as en toi des ressources, des expériences, des élans passés…
Même tes limites peuvent devenir des points d’appui.
Créer sa vie, ce n’est pas avoir un plan tout tracé.
C’est cheminer en expérimentant.
Faire un premier pas. Observer. Ajuster.
Et recommencer.
Parce qu’il est parfois difficile de s’écouter seule.
Parce qu’un regard extérieur peut ouvrir de nouvelles perspectives.
Parce qu’un espace dédié, avec d’autres en chemin, peut aider à tenir le cap.
C’est pour ça que je crée des espaces où tu peux déposer ce qui t’habite, explorer ce qui germe et t’autoriser à redéfinir ton propre rythme.
Une semaine en Ardèche est d’ailleurs en train d’éclore en coulisses — pour 2026 peut-être — mais en attendant, d’autres formes de soutien existent déjà.
Créer sa vie, ce n’est pas tout changer.
C’est changer la posture : passer du « je subis » à « je choisis ».
Même un petit mouvement peut transformer l’ensemble.
Et parfois, ce mouvement commence par une simple question :
Qu’est-ce qui me rend vivante, là, maintenant ?
Besoin d’un espace pour te reconnecter à toi ?
👉 L’Élan-Vie t’invite à écouter ce qui t’appelle, en douceur.
Envie d’explorer plus en profondeur ton rêve d’âme, et de le faire grandir concrètement ?
👉 Le programme Capt’Rêve t’accompagne dans cette traversée.
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Un article pour celles et ceux qui sentent que leur rêve s’est un peu endormi… et qui veulent lui redonner souffle.
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